Un accessoire de cuisine en céramique : les plaques de cuisson

Un accessoire de cuisine en céramique : les plaques de cuisson : publié dans les Chroniques ARAFA n° 2 – 2023

Christine Mennessier-Jouannet

Depuis les premières fouilles exécutées en Limagne d’Auvergne sur des sites gaulois, notamment par Robert Périchon et John Collis, des fragments nombreux mais difficilement identifiables à une quelconque activité ont été trouvés mélangés avec les tessons, la faune, et toute sorte d’objets brisés et au rebut. Bref, dès le début, ils ont été compris comme appartenant à la sphère domestique, à la maison. Des traces de feu remarquables sur la surface supérieure les ont identifiées à des accessoires de foyer domestiques : de là, leur premier appellatif de « plaque de foyer ». Le terme a été ensuite repris par l’ensemble des acteurs de l’archéologie. Il prête pourtant à confusion, car une « plaque de foyer » se rapporte à un objet plat posé verticalement contre un mur ou une paroi de fond de cheminée et ayant pour fonction de réfléchir la chaleur fournie par un foyer lui-même au sol. Nous lui préférons donc l’expression de « plaque de cuisson » en raison des stigmates de feu présents la partie supérieure.

Un accessoire de cuisine en céramique : les plaques de cuisson. Figure 1 : plaque de foyer quadrangulaire. Document R. Périchon (Périchon et Vichy 1967, planche 1, p. 312)

En 1967, sur le site de La Grande Borne, terroir appartenant au « site d’Aulnat » ainsi nommé par Jean-Jacques Hatt et Pierre-François Fournier dans la publication annonçant sa découverte (Hatt 1942), Robert Périchon a fouillé deux de ces plaques dans leur position d’origine, presque intactes et pour l’une d’elles posée sur le sol d’une structure bâtie et environnée de charbons de bois et de mobilier.

Nous savons que l’espace construit était d’une faible superficie d’environ 8 m² et cloisonné en matériaux légers : « elle [la plaque] était au centre de l’un des côtés les plus étroits d’une aire de forme rectangulaire encombrée de déchets de nourriture et de fragments de céramique… ». Pour l’autre, nous apprenons qu’elle était environnée de petits trous de piquets disposés en triangle, indices d’une installation pour suspendre un récipient (Périchon et Vichy 1967). Un croquis est fourni dans l’article (fig. 1).

Ultérieurement, l’étude reprise par Zoé Poucher en 1995 semble avoir été menée sur la base de l’article de 1967

Figure 1 : plaque de foyer quadrangulaire. Document R. Périchon (Périchon et Vichy 1967, planche 1, p. 312)

Depuis cette date, aucune découverte semblable n’a été faite en Auvergne. De plus, ces deux plaques ont été probablement séparées du reste du mobilier et sont actuellement perdues. Il nous faut travailler sans ces précieux témoins.

Nous ne disposons que de trois autres plaques suffisamment conservées pour apprécier leur morphologie : deux portions de plaque provenant également de La Grande Borne (fouille Périchon) et une autre provenant de la ZAC des Trois Fées à Cébazat (fouille 2013, par Anne Duny, Paléotime).

Pour le reste, des milliers de fragments de plaque proviennent de rejets domestiques. On les retrouve en position secondaire dans les puits, les fossés des habitats enclos ou les silos réutilisés en dépotoirs et leur petite dimension ne permet pas de restituer leur forme complète.

En Limagne d’Auvergne, leur fabrication et leur utilisation est attestée de la fin du VIe siècle avant notre ère jusqu’aux débuts de l’époque romaine.

Notre propos sera d’envisager comment mettre en évidence une description la plus poussée possible de ces plaques pour lesquelles les zones vides sont plus importantes que les zones renseignées. Il s’agira ensuite de comprendre leur évolution dans le temps et enfin de rendre plus précis leur contexte d’utilisation.

I. Description

Celle de La Grande Borne dont il reste un dessin, mesure 58 × 55 cm pour une épaisseur donnée de 2 cm. En général, l’épaisseur de chaque plaque est très stable au millimètre près avec seulement un creusement léger et plus ou moins accentué le long du rebord. Cette plaque est munie d’un système de rebords dissymétrique : sur l’un des plus longs côtés, le rebord mesure 7 cm de haut et les trois autres semblent identiques avec une hauteur de 3,8 cm. Le poids total n’est pas donné. Au moins deux côtés sont décorés de digitations, thème décoratif fréquent pendant La Tène ancienne et moyenne (Périchon et Vichy 1967 ; Poucher 1995).

Celle du site des Trois Fées à Cébazat est composée de 28 fragments pesant 6,580 kg dont 23 recollent et forment partiellement un angle de cette plaque (fig. 2). Les deux côtés de cet angle sont rectilignes, confirmant une forme générale quadrangulaire, carrée ou rectangulaire. L’un des rebords est marqué par une légère inflexion d’environ 1 cm, tandis que l’autre côté est plus marqué avec une hauteur depuis la base de plus de 5 cm. Son épaisseur varie entre 2,5 cm et 2,9 cm vers le centre. Cette zone présente un renflement de quelques millimètres, peut-être dû à un rechapage qui permet de restituer un profil complet, ce qui induit une largeur d’environ 48 cm. L’autre axe, incomplet, a été reconnu sur 52 cm. La surface de la plaque avoisinerait le quart de mètre carré. Si la partie remontée pèse 6,5 kg et qu’elle représente environ le tiers de la plaque, celle-ci ferait un poids de 20 kg au minimum, ce qui est déjà considérable.

Les deux autres fragments de plaques provenant de la fouille de Robert Périchon à La Grande Borne sont également quadrangulaires. Dans les deux cas, un seul angle est conservé avec des rebords bas et décorés pour un exemplaire par de longues entailles obliques. Le poids conservé est de 5 kg pour l’un avec une représentation probable du tiers de la plaque, soit 15 kg et de 2 kg pour l’autre plus faiblement documentéau 1/5e de sa surface, ce qui fournit un poids plus faible de 10 kg environ.

Un accessoire de cuisine en céramique : les plaques de cuisson. Figure 2 : plaques de cuisson parmi les mieux conservées. A : Cébazat (63), Les Trois Fées. Puits 1490, us 1298 (fouille A. Duny) ; B : Clermont-Ferrand (63), La Grande Borne (fouille R. Périchon), carré B24AT ; C : Clermont-Ferrand (63), La Grande Borne (fouille R. Périchon), carré B24AV

Figure 2 : plaques de cuisson parmi les mieux conservées. A : Cébazat (63), Les Trois Fées. Puits 1490, us 1298 (fouille A. Duny) ; B : Clermont-Ferrand (63), La Grande Borne (fouille R. Périchon), carré B24AT ; C : Clermont-Ferrand (63), La Grande Borne (fouille R. Périchon), carré B24AV

La masse des fragments épars fournit de multiples éléments qui valident une forme sûrement quadrangulaire et l’asymétrie au moins fréquente des hauteurs des rebords. Le recours à des argiles identiques à celles qui servent à la production des vases et récipients indique que nous avons affaire à des objets qui font partie du quotidien. Leur mise en forme assez uniforme d’un fragment à l’autre, de même que les traitements de surface donnent l’impression d’une production relativement standardisée.

Les modes de fabrication vont dans le même sens : les plaques sont pour certaines moulées sur des supports en bois, mais pour d’autres mises en forme sur des surfaces planes, graveleuses ou sableuses comme le montrent les traces laissées sur la surface inférieure. Elles sont ensuite mises à sécher, puis cuites comme les céramiques, ce que confirme l’uniformité des traitements des surfaces inférieures. Dans de nombreux cas, les finitions, soit raclées, soit égalisées ou même lissées des surfaces inférieures rendent difficile, sinon impossible, l’observation du mode de production. Dans tous les cas, il s’agit d’un travail bien fait, notamment pour la surface supérieure.

II. L’évolution dans le temps

Parmi de nombreux éléments descriptifs de ces plaques, un seul est apparu au fil de l’étude comme nettement discriminant du point de vue chronologique : l’épaisseur des plaques.

Dès les premiers moments du second âge du Fer, la forme quadrangulaire est acquise, l’asymétrie des rebords est aussi présente, la composition des pâtes plutôt grossières à mi-fines est la norme, le traitement soigné de la base est identique sur l’ensemble de la période laténienne. Les décors peuvent ouvrir la brèche à un peu plus de variété : il n’y en a pas sur les plaques les plus anciennes (Ha D3 – LT A1 : Auvergne-étape 1), ils apparaissent ensuite sous forme de longues entailles obliques ou de torsades disposées le long du sommet d’un ou plusieurs rebords durant le IVe siècle avant notre ère (LT B1 : Auvergne-étape 2) mais ne deviennent fréquent qu’à partir du IIIe siècle (LT B2 et C1 : Auvergne-étapes 3 à 5). Leur longévité jusqu’à la fin du IIe siècle av. rend difficile leur utilisation pour dissocier chronologiquement des étapes particulières. Une autre distinction morphologique existe, mais trop discrète pour être prise en compte sur le long terme : l’absence de rebord sur les plaques les plus anciennes (Auvergne-1) au moins sur un côté. En fait, seule l’épaisseur du plateau lui-même, par chance uniforme sur chacun des fragments mesurés, a mis en évidence une évolution dans leur fabrication.

Ce constat a été rendu possible grâce à l’inventaire fait sur des ensembles de référence sélectionnés pour leur représentativité chronologique. Un des enjeux de la publication collective de 2017 était de classer la céramique commune sur la période du Ve au Ier siècle avant notre ère et d’ancrer ce classement sur celui de mobiliers mieux datés (métal, verre, monnaies…). C’est dans ce cadre que le classement des plaques de cuisson s’est inséré sur la base des épaisseurs des plateaux (Fig. 3c).

Un accessoire de cuisine en céramique : les plaques de cuisson. Figure 3  : étude de cas documentant l’importance de l’épaisseur des plaques pour leur datation.
A  : La période de bascule entre plaques fines et épaisses intervient dans la 2ᵉ moitié du IIIe siècle av. notre ère ;
B  : Sur la longue durée, des plaques fines peuvent être présentes dans les étapes récentes, mais aucune plaque épaisse de plus de 2 cm n’existe avant le début du III e siècle av. ;
C : Tableau récapitulatif de l’ensemble des sites exploités dans le cadre de la publication de 2017 ( Mennessier- Jouannet et Deberge 2017)
Figure 3  : étude de cas documentant l’importance de l’épaisseur des plaques pour leur datation.
: La période de bascule entre plaques fines et épaisses intervient dans la 2ᵉ moitié du IIIe siècle av. notre ère ;
: Sur la longue durée, des plaques fines peuvent être présentes dans les étapes récentes, mais aucune plaque épaisse de plus de 2 cm n’existe avant le début du III e siècle av. ;
: Tableau récapitulatif de l’ensemble des sites exploités dans le cadre de la publication de 2017 ( Mennessier- Jouannet et Deberge 2017)

Deux exemples illustrent cette démarche. Le site des Trois Fées a connu une occupation sur la longue durée et la période gauloise y est représentée à partir du IVe siècle avant jusqu’à la conquête romaine. Les plaques ont été décrites en même temps que la céramique des différentes structures où elles se trouvaient : ainsi la plaque présentée ci-dessus côtoyait de la céramique attribuable à LT B2b ou C1, ce qui la date du IIIe siècle avant notre ère. Sur le graphique (Fig. 3b) on observe que :

  • Les plaques d’épaisseur comprise entre 1,4 et 2 cm proviennent des niveaux rattachés au premier grand enclos d’habitat mis en place à LT B, soit au IVe siècle.
  • Lors de la restructuration de l’habitat avec le creusement d’un grand fossé (LT B2b/C1 au IIIe siècle), les mesures se décalent avec trois plaques entre 1,7 et 1,9 cm, mais surtout 5 plaques entre 2 et 2,5 cm et plus rien au-delà de 2,9 cm pour certains exemplaires.
  • Ce n’est qu’à partir de LT C2 et jusqu’à LT D1a, au IIe siècle, que les épaisseurs dépassent les 2,9 cm.

Des blocs se dessinent ainsi qui ont valeur chronologique. Ce classement obtenu sur la base de 55 fragments est consolidé par des données quantitativement plus importantes. Ainsi, le graphique (Fig. 3a) met une focale sur la répartition durant le IIIe siècle en dissociant les deux périodes de LT B2b et LT C1 avec respectivement un total de 185 et 98 restes. Le même phénomène de glissement des épaisseurs s’observe d’une phase à l’autre : plus on avance dans le temps, plus les plaques ont de l’épaisseur.

Le tableau (Fig. 3c) effectué à partir du total (263) des plaques attestées par un rebord (NMI), montre le même décalage des épaisseurs au fil du temps et confirme que :

  • 25 des 26 plaques étudiées pour les étapes 1 et 2 ne dépassent pas 1,9 cm d’épaisseur, sauf un qui mesure 2 cm.
  • L’étape 3, quoique peu représentée, amorce l’épaissement des parois au-delà de 2 cm pour le tiers des exemplaires.
  • L’étape 4 avec 97 exemplaires connaît une explosion quantitative de ces ustensiles. 67 % de ce total ont une épaisseur inférieure à 2 cm pour 23 % compris entre 2 et 2,6 cm. Aucune plaque n’est plus épaisse. Cette période voit l’amorce du changement par le renforcement de l’épaisseur et par là même une mise à disposition nettement plus importante de matière première.
  • L’étape Auvergne 5 voit le basculement vers des formes nettement plus épaisses. 41 % des plaques mesurent moins de 2 cm, mais 50 % sont comprises entre 2 et 2,6 cm, et 9 % mesurent jusqu’à 3,2 cm. Les deux tiers des plaques dépassent le seuil critique de 2 cm.

Ces données peuvent se synthétiser en un tableau morpho-chronologique qui met en évidence une évolution lente, mais nette sur les cinq premières étapes de la chronologie du second âge du Fer en Auvergne, tout au moins en Basse Auvergne (fig. 4).

Un accessoire de cuisine en céramique : les plaques de cuisson. Figure 4  : Tableau de synthèse de l’évolution des formes et décors des plaques de cuisson durant la période laténienne (V e – fin du II e siècle avant notre ère). Document C. Mennessier-Jouannet
Figure 4  : Tableau de synthèse de l’évolution des formes et décors des plaques de cuisson durant la période laténienne (V e – fin du II e siècle avant notre ère). Document C. Mennessier-Jouannet

Conclusion. Qui utilise cet accessoire de cuisine et comment ?

Que ces plaques aient été utilisées posées sur le sol comme le suggèrent les observations de Robert Périchon ou amovibles comme l’ont défendu Vincent Guichard et Yann Deberge, il est aujourd’hui difficile de trancher car, comme il a été montré les caractéristiques morphologiques précises de ces accessoires de cuisine sont mal connues. Leur poids est malgré tout élevé, même s’il n’empêche pas un transport éventuel. Cependant, les mensurations somme toute proches du carré rendent leur prise en main délicate, d’autant que les stigmates des feux qu’elles supportent en fragilisent la structure. Pour La Tène ancienne, un autre aspect est à prendre en compte : les fragments sont retrouvés dans des contextes de bâtiments très exigus, ceux-ci faisant au maximum 14 m² pour une moyenne autour de 10 m² de superficie. Pour ces raisons, je préfère suggérer que ces accessoires de cuisson avaient un emplacement dédié dans l’organisation spatiale de la maison. Si l’on s’en tient aux plaques qui portent des traces de feu, on peut leur restituer une fonction complémentaire aux foyers ouverts, reconnus le plus souvent à l’extérieur des bâtiments. Elles apparaissent ainsi comme des substituts des foyers ouverts adaptés à l’intérieur des maisons et fonctionnent vraisemblablement avec des braises. De ce fait, elles présentent une équivalence de fonction avec les soles foyères retrouvées dans les maisons de même époque du Midi de la France.

Par déduction logique, il apparaît que ces plaques signalent la présence de foyer domestiques et deviennent un jalon très intéressant pour apprécier le nombre de « feux » existants sur un site, selon l’expression médiévale consacrée. Leur répartition sur les sites ruraux connus pour les Ve et IVe siècles avant notre ère en Limagne d’Auvergne est compatible avec cette hypothèse.

Dans la même foulée, leur évolution quantitative presque exponentielle observée dès la première moitié du IIIe siècle confirme bien les données amassées par ailleurs concernant la fondation de ce que l’Antiquité elle-même appelait une ville : un site où la population s’agglomère. Les multiples fragments rejetés sur le chemin 8 du site d’Aulnat (fouille de John Collis) et la concentration de ces plaques sur l’empierrement fouillé par Robert Périchon prouvent un nombre de foyers domestiques sans commune mesure par rapport à ce qui était connu antérieurement dans les campagnes.

Bibliographie

Duny et alii 2015

Duny (A.). – De l’âge du Bronze à La Tène finale en Limagne : une occupation protohistorique pérenne sur le site de la ZAC des Trois Fées (Cébazat, Puy-de-Dôme), rapport final d’opération de fouille archéologique, Ophis Puy-de-Dôme, Mosaïques Archéologie/SRA Auvergne, 2015, 3 volumes.

Hatt 1942

Hatt (J.-J). – Découverte d’un village gaulois de La Tène III au terroir de Fontvieille, sur l’emplacement de la base aérienne d’Aulnat-Sud (Puy-de-Dôme), Bulletin Historique et Scientifique de l’Auvergne, LXII, 1942, p. 36-48.

MennessierJouannet et Deberge 2017

Mennessier-Jouannet (Ch.), Deberge (Y.). – Chronologie du mobilier archéologique du second âge du Fer en Auvergne, 65esupplément de la R.A.C.F, 655 p., 490 fig.

Périchon, Vichy 1967

Périchon (R.), Vichy (M.). – Note de céramologie : les plaques de foyer, dans Revue Archéologique du Centre de la France, 6, 1967, p. 311-316.

Poucher 1995

Poucher (Z.). – A study of plaque de foyer from Aulnat-Gandaillat and Le Patural, two Iron Age sites located in the Auvergne region of France, Sheffield, Université de Sheffield, 1995, 74 p. Document inédit: archives de l’Arafa.

Annexes

Figure 5 : exemples de plaques de cuisson. Fiche technique.
A1 : face inférieure régulièrement égalisée et fragment de la face supérieure avec lissage ;
A2 : face inférieure avec traitement plus irrégulier et empreintes d’éléments sableux ;
B1, B2 et B3 : coupe, angle avec rebord et face inférieure régulièrement égalisée d’une même plaque ; C : fragment de plaque de cuisson décorée avec traces de feu et présence de cendres agglomérées. Document C. Mennessier-Jouannet
Figure 5 : exemples de plaques de cuisson. Fiche technique.
A1 : face inférieure régulièrement égalisée et fragment de la face supérieure avec lissage ;
A2 : face inférieure avec traitement plus irrégulier et empreintes d’éléments sableux ;
B1, B2 et B3 : coupe, angle avec rebord et face inférieure régulièrement égalisée d’une même plaque ; C : fragment de plaque de cuisson décorée avec traces de feu et présence de cendres agglomérées. Document C. Mennessier-Jouannet

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